• [Un paragraphe de ma synthèse de document sur l'adolescence]

     I. Une période de crise

     

    Une période d'incertitude et de remise en question...où les relations avec l'univers adulte s'avèrent difficiles.

    Il est d'une certitude que l'adolescence est une période de crise, de rebellions face à son « moi » et son entourage. Comme le montre Dintzer l'adolescent se pose énormément de question dont il ne détient pas les réponses. L'adolescence est une période de quête d'identité, il se cherche mais aussi cherche sa place dans la société. Il a cette difficulté à s'assumer comme le montre Brunel. Il est accaparé par l'incompréhension et aveuglé par sa révolte contre l'autorité parentale et la société qui l'entoure tel nous le fait constaté Dintzer et Constant.

    Il se sent étouffé et opprimé par ses sentiments éphémères qui durent durant toute l'adolescence tel que : le manque de confiance en soi, le malaise, ce sentiment d'inutilité, et d'échec. C'est une période de crise et de malaise. L'adolescent est une girouette, ses sentiments, ses émois, ses humeurs sont constamment chamboulées, ce qui amène a des contradictions dans ses propos. On peut en déduire que l'adolescent est instable émotionnellement.

    [ ...]

    [Je ne suis pas une littéraire, mais plutôt une manager, lol,]

    (Comme d'habitude les images n'ont pas de rapport avec le texte, je suis juste obsédée par les mangas et tout ce qui touche à la culture asiatique^^)


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  • Voici deux documents extraits de la synthèse de documents que nous avons fait en cours. Ces deux documents traitent du thème de l'adolescence. La première fois que j'ai lu le premier texte, je me suis tout de suite reconnu, cette façon d'écrire, j'avais l'impression que c'était moi qui avait écris ce journal, le journal d'un adolescente.....so strange.

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    Texte 1

     Mais le bonheur, on ne parvient jamais à l'atteindre. Si nous pouvions seulement comprendre le sens de ce qui nous entoure. Pourquoi ce monde ? Pourquoi souffre-t-on ? Pourquoi la bêtise humaine et toute cette terrible médiocrité ? Ces gens qui se délectent dans la lecture de ce journal si mal écrit où, malgré son nom prometteur, ils trouveront toujours les mêmes nouvelles. Et pourquoi vit-on ? Pourquoi suis-je un être humain et non une fourmi ? Pourquoi suis-je faite ainsi ? Pourquoi mes ces yeux, ces mains ? Pourquoi m'est-il impossible de me regarder longtemps devant la glace de ma coiffeuse en constatant : « C'est moi, ce n'est pas autre chose » ? Pourquoi ne puis-je pas comprendre ceux qui m'agitent autour de moi ? Pourquoi suis-je une énigme pour moi-même ? Je ne veux pourtant pas jouer à l'incomprise. Et puis pourquoi être triste ?

    Je ne veux pas qu'on dise comme à Chateaubriand : « You carry your heart in a sling » (1). J'aime la gaieté. J'aime rire. J'aime le beau soleil, la musique, les poètes (oh ! pas tous). Je suis heureuse lorsque j'obtiens une bonne note (est-ce encore de mon age ? j'aurai, il ne faut pas l'oublier, dix-sept ans le six mars prochain). J'ai beau m'examiner, ce que je fais avec passion...et aussi avec admiration.

                    Je voudrais qu'on m'explique. Qu'on m'explique quoi ? Ce n'est pas facile à exposer. A qui pourrais-je écrire ? (Je sais mieux écrire que parler). Oserais-je ? Après tout, je ne suis peut-être pas si originale. Maman ? Il n'en est pas question. Je l'entends par avance. Mes professeurs ? Qui ? Même Mlle B... !

    Suis-je malade ? Avoir dix-sept ans, est-ce une maladie ? Pour moi, c'est cruel, c'est terrible. Et pourquoi m'a-t-on fait croire que j'étais un prodige, un génie ? Moi, du génie, parce que je ne tourne pas trop mal mes phrases, parce que j'ai lu Les Pensées, Le Rouge et le Noir, Le Nœud de Vipères ?

    C'est ridicule. J'aurais été illustre, je me serais révélée à tous. Quelle déception, quel orgueil, il faut bien l'avouer. Si Dieu était, je serais punie. Dieu, je l'ai appelé, il n'a pas répondu. Rien, rien, jamais rien. Il est des instants où je souhaiterais mourir. Comme je suis malheureuse. Pourtant il arrive que j'espère.  Je désespère et j'espère. Quelque chose se produira.

     (1)   Vous portez votre cœur en écharpe.

     Rapporté par : L. DINTZER dans Le jeu d'adolescence, PUF, 1956.

     

    Texte 2

     

    L'adolescence est sans doute, dans la vie de l'homme, la période la plus tourmentée, la plus complexe, la plus instable. On peut cependant se demander si cet « age » correspond à un fait de nature (état biologiquement déterminé qu'on peut objectivement, scientifiquement cerner) ou à un fait de culture. En effet, et c'est significatif, le problème de l'adolescence est un problème nouveau, moderne, que très peu de textes antérieurs au XIXème siècle posent de façon explicite. Ce phénomène paraît également propre aux sociétés développées, puisque, dans les sociétés primitives, on passe sans transition de l'enfance à l'âge adulte par une simple cérémonie d'initiation. De plus en plus, dans le monde moderne, la tendance est à reconnaître, sous des formes très diverses et parfois contradictoires, un véritable statut social à l'adolescence.

    Cette période se caractérise d'abord par une propension à la révolte, dont les parents sont les premières victimes. Les adultes, en retour, font souvent preuve de la même incompréhension. La société, dans son ensemble, paraît alors hostile, et, par crainte ou par refus, l'adolescent connaît les pires difficultés pour s'y intégrer, à moins que, toujours en s'opposant, il ne se découvre une providentielle vocation.

    En fait, les adolescents vivent entre eux, dans un monde à part, qu'ils protéger. C'est l'âge ou l'amitié exclusive et sublimée semble devoir être éternelle. Parfois ces liens privilégiés sont élargis à un groupe de « copains » où l'on se sent bien, parce qu'on peut enfin s'y intégrer. C'est aussi l'âge des premiers émois, à la fois refusés, redoutés et éprouvés avec délices.

    Finalement, l'adolescent cherche partout sa place, parce qu'il est en proie aux plus vives inquiétudes sur sa propre personnalité. Il est en effet animé de grands élans qui le portent vers l'action politique, la « quête » de soi, ou vers l'exaltation métaphysique.

    Quoi d'étonnant, dès lors, que Freud ait choisi Œdipe pour symboliser la longue succession des problèmes, qui de l'enfance à l'adolescence, occupent la vie affective ? Même si la figure d'Œdipe transcende les problèmes de l'adolescence, elle n'en demeure pas moins une représentation privilégiée de la difficulté de s'assumer, caractéristique de cet âge.

    P. BRUNEL, « Vers l'âge d'homme », dans Approches littéraires, 1976.

     

     


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  • De ma Blackie,...... merci.... Je t'adore


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  • Je vais bien, depuis des mois ce mot m'était inconnue et enfin.... j'arrive à prononcer à le prononcer, « bien », oui je vais bien. C'est un sentiment étrange....mais c'est agréable à vivre, si jouissant. Avec mes parents, ca roule, on discute bien, je peux leurs parler de tout. Bien sur il y aura toujours des petites tensions parfois, des minis engueulades, des désaccords, mais dans toute les familles c'est parei (mon point de vue)l, sinon ce serai triste si tout le monde était d'accord avec tout le monde....

    Avec Mon Ange, ca va très bien, elle prend de mes nouvelles chaque jours, et moi je lui porte tout mon attention comme je sais si bien faire, parfois j'essai de prendre de la distance mais c'est chaud ....J'essai de me protéger et la protéger de mon amour....elle a désormais quelqu'un dans sa vie...et bien sur j'en souffre....je suis hyper jalouse....elle sait que j'en souffre....alors elle prend soin de moi.....Rhaaaaaaaaaaaa je l'aime....mais je peux rien faire...ouinnnnnnnnn

     

    Objectif des deux prochains mois : BTS

     

    J'ai carrément déconné ses 5 derniers mois, alors je me ressaisi....je bosse mon droit, mon économie surtout....

     

    Voilà la principale news, rien bien de nouveau...à part le fait que je me sens bien...jusqu'à quand ??? j'en sais rien....mais en espérant le plus longtemps possible....peut-être est-ce un bonheur superficiel, m'en fou, j'en profite....

     

    Seul bémol : plus d'abonnement de train, bye bye Paris, peux plus voir Mon Ange chaque week-end.

     

    J'aimerai avoir un abonnement de train illimité, et un forfait de téléphone portable sans limite, pour rester toujours en contact avec les gens que j'aime....je peux toujours rêver....

     

     

    Pardon à Coralie, de m'effacer, de donner peu ou pas de news...mais sache que je pense à toi...à chaque fois que je clique sur ton lien, lis tes textes qui me rempli de joie....

     

    Tendresse

     

    Votre Dévouée Kim


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  • Fantasy Females

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